Excellent petit-déjeuner.
Pendant qu'Emmanuel répare la roue arrière du vélo de Guillaume, Anne va saluer le Caïd pour dire leur contentement (ce qui est très important pour leurs hôtes au risque de représailles). Ensuite elle passe au dispensaire pour remplir les fiches médicales... ce qui laisse un peu d'inquiétude chez Hamed car.. nous ne savons pas où est passée Anne ! Mais .. Anne réapparaît !
Nous imprimons quelques photos souvenirs de la famille d'Hamed (Sa Maman avec sa soeur, avec sa petite-fille, avec sa belle-fille.... de la tête au pied).
Nous partons en excursion visiter un lac... mais le pneu de la roue de Guillaume nous lâche de nouveau ! Pffffff ! Ce qui donnera l'occasion à Guillaume d'aller sur le porte-bagages de la mobylette d'Hamed :-))) Tout le monde veut y monter !
Nous découvrons le très beau site, les Oued !
Tout est cool mais quand on repart, nous touchons aux limites de nos différences... ces notions de temps et d'organisation parfois si éloignées dans nos deux cultures. Ceci n'est pas de tout confort pour nous !
Hamed veut nous emmener chez son beau-frère... séance de thé... puis, ils tuent le coq.... puis ils cuisinent le coq... puis nous mangeons le couscous. Or, notre temps est compté : nous devons impérativement repasser au centre médical avant la fermeture, passer des coups de téléphone, faire "école", aller dans un cyber-café... Nous sommes tendus et stressés... Et eux ? ils fument le Kif ! Forcément, ils réagissent de moins en moins et se prélassent !!!
Nous observons un très jeune enfant qui s'amuse avec un chiot en lui tapant dessus ! Nous ressentons le même malaise que celui observé au marché lorsque les gens tapaient sur les animaux. Nous percevons que lorsque la vie est rude, une partie de la rudesse est déversée sur les animaux.
Puis Hamed s'en va.. mais où ? Il a un trousseau de clé d'une maison en travaux qu'il doit rendre... rappelez-vous qu'Hamed ne parle pas le français ! Nous vivons l'expérience de la patience !
Puis arrivent deux autres beaux-frères en voiture, qui parlent espagnol ! Ouf... on peut enfin un peu se comprendre ! Ils accélèrent le couscous et nous repartons à 16H30 ! Enfin ! Appoline et Jérôme repartent avec les deux frères... mais n'arrivent pas au centre médical :-( Les deux frères sont allés "montrer" nos deux enfants à leur famille !!! Alors là, nous montrons que nous sommes fâchés !
Et arrive ce qui devait arriver : le dispensaire est fermé ! Des enfants veulent nous aider et forcent la porte, sûrs de leur geste car ils sont persuadés qu'il y a encore quelqu'un ! De fait :-) Le gardien nous entend et le toubib arrive ! Les fiches sont remplies ! Victoire !
Nous nous excusons auprès d'Hamed pour nos énervements. Nous apprenons que nous ne pouvons pas aller dormir le soir chez Mohammed. Il n'y a personne car le matin une des belles-filles devait accoucher par césarienne à l'hôpital qui se trouve en ville à 50 kms. Elle est partie accompagnée de son frère, de son oncle, sans doute de son mari (l'histoire ne le dit pas), et de ... , soit quatre hommes et une femme pour un accouchement ! Quelle solidarité ! Quelle intimité (note du rédacteur) !
Nous organisons une expédition pour aller rechercher nos affaires afin de pouvoir dormir dans une autre maison de Ben Moussa, dans la belle-famille d'Hamed. Et nous annonçons notre volonté de partir le lendemain à 9H00.
Pendant qu'Emmanuel répare la roue arrière du vélo de Guillaume, Anne va saluer le Caïd pour dire leur contentement (ce qui est très important pour leurs hôtes au risque de représailles). Ensuite elle passe au dispensaire pour remplir les fiches médicales... ce qui laisse un peu d'inquiétude chez Hamed car.. nous ne savons pas où est passée Anne ! Mais .. Anne réapparaît !
Nous imprimons quelques photos souvenirs de la famille d'Hamed (Sa Maman avec sa soeur, avec sa petite-fille, avec sa belle-fille.... de la tête au pied).
Nous partons en excursion visiter un lac... mais le pneu de la roue de Guillaume nous lâche de nouveau ! Pffffff ! Ce qui donnera l'occasion à Guillaume d'aller sur le porte-bagages de la mobylette d'Hamed :-))) Tout le monde veut y monter !
Nous découvrons le très beau site, les Oued !
Tout est cool mais quand on repart, nous touchons aux limites de nos différences... ces notions de temps et d'organisation parfois si éloignées dans nos deux cultures. Ceci n'est pas de tout confort pour nous !
Hamed veut nous emmener chez son beau-frère... séance de thé... puis, ils tuent le coq.... puis ils cuisinent le coq... puis nous mangeons le couscous. Or, notre temps est compté : nous devons impérativement repasser au centre médical avant la fermeture, passer des coups de téléphone, faire "école", aller dans un cyber-café... Nous sommes tendus et stressés... Et eux ? ils fument le Kif ! Forcément, ils réagissent de moins en moins et se prélassent !!!
Nous observons un très jeune enfant qui s'amuse avec un chiot en lui tapant dessus ! Nous ressentons le même malaise que celui observé au marché lorsque les gens tapaient sur les animaux. Nous percevons que lorsque la vie est rude, une partie de la rudesse est déversée sur les animaux.
Puis Hamed s'en va.. mais où ? Il a un trousseau de clé d'une maison en travaux qu'il doit rendre... rappelez-vous qu'Hamed ne parle pas le français ! Nous vivons l'expérience de la patience !
Puis arrivent deux autres beaux-frères en voiture, qui parlent espagnol ! Ouf... on peut enfin un peu se comprendre ! Ils accélèrent le couscous et nous repartons à 16H30 ! Enfin ! Appoline et Jérôme repartent avec les deux frères... mais n'arrivent pas au centre médical :-( Les deux frères sont allés "montrer" nos deux enfants à leur famille !!! Alors là, nous montrons que nous sommes fâchés !
Et arrive ce qui devait arriver : le dispensaire est fermé ! Des enfants veulent nous aider et forcent la porte, sûrs de leur geste car ils sont persuadés qu'il y a encore quelqu'un ! De fait :-) Le gardien nous entend et le toubib arrive ! Les fiches sont remplies ! Victoire !
Nous nous excusons auprès d'Hamed pour nos énervements. Nous apprenons que nous ne pouvons pas aller dormir le soir chez Mohammed. Il n'y a personne car le matin une des belles-filles devait accoucher par césarienne à l'hôpital qui se trouve en ville à 50 kms. Elle est partie accompagnée de son frère, de son oncle, sans doute de son mari (l'histoire ne le dit pas), et de ... , soit quatre hommes et une femme pour un accouchement ! Quelle solidarité ! Quelle intimité (note du rédacteur) !
Nous organisons une expédition pour aller rechercher nos affaires afin de pouvoir dormir dans une autre maison de Ben Moussa, dans la belle-famille d'Hamed. Et nous annonçons notre volonté de partir le lendemain à 9H00.
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