Le vendredi 9 décembre 2011
Nous quittons le parc sans bien savoir où nous allons, la route indiquée sur nos cartes (une routière, une IGN) n'existe plus et les villages ont changé de nom! Et personne n'est capable de nous expliquer le chemin de manière suffisamment précise... Nous avons estimé le trajet à 35 km, il y en aura finalement 70 !
Le début est superbe avec des huppes fasciés qui nous accompagnent sautant de piquet en piquet, puis les antilopes qui viennent nous saluer et enfin les autruches qui daignent nous faire un petit coucou. Le Parc de BOU HEDMA nous aura gâté jusqu'au bout !
Au début c'est une route, à Heddej cela devient une piste sans indication, sans borne mais avec un fort vent de face. Nous demandons notre route mais les indications sont vagues et parfois contradictoires. Nous n'avançons pas, les enfants sont découragés, c'est à hurler ! La piste devient tellement difficile que le tandem Jérôme-Emmanuel est formé (merci le FOLLOW ME) mais heureusement nous retrouvons du macadam. Difficile de profiter des paysages superbes dans ces conditions, pourtant les montagnes qui nous entourent sont très belles. Après 3 km de route, nous trouvons enfin la passe qui doit nous mener en 4 km à SAKKET. L'espoir revient même si nous sommes à nouveau sur une piste en terre et qui monte, monte.. et nous, excepté Guillaume, oblige à poser pieds à terre... Déjà 54 km dans les roues et de Sakket il reste 15 km de montagne (col à 850m) pour arriver à SNED et une heure de lumière, c'est impossible.
A Sakket, nous sommes encore l'attraction. Nous demandons si il y a un pick-up dans le village pour nous droper à SNED. Après quelques minutes nous avons trois propositions, mais c'est Moujib qui sera le plus rapide et envoie Amor à notre rencontre. En attendant notre carrosse, nous prenons du bon temps au carrefour du village avec des jeunes et moins jeunes, Jérôme recevra un paquet de biscuits, les cours improvisés d'arabe créent quelques fous rires...
Nous arrivons frigorifiés à SNED, entassés avec nos vélos dans le benne arrière du pick-up. Le soleil est déjà couché. Nous y sommes accueillis par la famille d'Amor. Aïcha, sa femme, est au fourneau, cuisant la galette (pain plat) au feu de bois. Les deux plus jeunes, Houssem et Chayma, nous tournent autour et très vite commencent à jouer avec nos enfants. Les deux plus grands, Wassim et Bassem, apparaîtront plus tard en kimono, de retour de leur cour de Tai Kwando. Amor nous installe dans le salon, une des 4 pièces qui donnent sur la cour intérieure. Assis sur des matelas à même le sol, le délicieux copieux repas suivra: soupe, brick à l'œuf et couscous. Epuisés et repus, nous nous couchons tôt et certains (nous ne citerons pas de noms) sombreront quasi instantanément dans un sommeil réparateur...
Nous quittons le parc sans bien savoir où nous allons, la route indiquée sur nos cartes (une routière, une IGN) n'existe plus et les villages ont changé de nom! Et personne n'est capable de nous expliquer le chemin de manière suffisamment précise... Nous avons estimé le trajet à 35 km, il y en aura finalement 70 !
Le début est superbe avec des huppes fasciés qui nous accompagnent sautant de piquet en piquet, puis les antilopes qui viennent nous saluer et enfin les autruches qui daignent nous faire un petit coucou. Le Parc de BOU HEDMA nous aura gâté jusqu'au bout !
Au début c'est une route, à Heddej cela devient une piste sans indication, sans borne mais avec un fort vent de face. Nous demandons notre route mais les indications sont vagues et parfois contradictoires. Nous n'avançons pas, les enfants sont découragés, c'est à hurler ! La piste devient tellement difficile que le tandem Jérôme-Emmanuel est formé (merci le FOLLOW ME) mais heureusement nous retrouvons du macadam. Difficile de profiter des paysages superbes dans ces conditions, pourtant les montagnes qui nous entourent sont très belles. Après 3 km de route, nous trouvons enfin la passe qui doit nous mener en 4 km à SAKKET. L'espoir revient même si nous sommes à nouveau sur une piste en terre et qui monte, monte.. et nous, excepté Guillaume, oblige à poser pieds à terre... Déjà 54 km dans les roues et de Sakket il reste 15 km de montagne (col à 850m) pour arriver à SNED et une heure de lumière, c'est impossible.
A Sakket, nous sommes encore l'attraction. Nous demandons si il y a un pick-up dans le village pour nous droper à SNED. Après quelques minutes nous avons trois propositions, mais c'est Moujib qui sera le plus rapide et envoie Amor à notre rencontre. En attendant notre carrosse, nous prenons du bon temps au carrefour du village avec des jeunes et moins jeunes, Jérôme recevra un paquet de biscuits, les cours improvisés d'arabe créent quelques fous rires...
Nous arrivons frigorifiés à SNED, entassés avec nos vélos dans le benne arrière du pick-up. Le soleil est déjà couché. Nous y sommes accueillis par la famille d'Amor. Aïcha, sa femme, est au fourneau, cuisant la galette (pain plat) au feu de bois. Les deux plus jeunes, Houssem et Chayma, nous tournent autour et très vite commencent à jouer avec nos enfants. Les deux plus grands, Wassim et Bassem, apparaîtront plus tard en kimono, de retour de leur cour de Tai Kwando. Amor nous installe dans le salon, une des 4 pièces qui donnent sur la cour intérieure. Assis sur des matelas à même le sol, le délicieux copieux repas suivra: soupe, brick à l'œuf et couscous. Epuisés et repus, nous nous couchons tôt et certains (nous ne citerons pas de noms) sombreront quasi instantanément dans un sommeil réparateur...
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