Le dimanche 18 décembre 2011
Jérôme a deux dents de trop à l'avant depuis un mois, cela fait désordre. Emmanuel essaye donc de lui arracher les excédentaires avec sa pince Laetherman, sans succès. Cela fait quelques jours que nous lui rappelons qu'à Sousse il passera chez le dentiste si elles ne sont pas tombées avant... Sans doute que la photo de l'arracheur de dents vue au musée de Nefta lui met un peu la pression. Et c'est finalement ce dimanche matin que sa première dent de lait tombe... TIMBER!!!!!!!!!!!!... presque toute seule. Ouf, un peu de répit !
Le transfert vers Sousse vaut un roman à lui tout seul. Pour faire court, notre jeune bus qui ne compte que 550.000 km au compteur, clignote de partout: "vérifier les freins", "vérifier l'ECO moteur",... de plus, il broute plus qu'un dromadaire, les portes ne ferment pas, les soutes très mal, le chauffeur est obligé de couper/allumer son moteur pour réinitialiser en permanence,... il se traîne péniblement à du 40km/h nous laissant tout le loisir d'admirer à s'naise la vue, les paysages, les bas-côtés, les panneaux de signalisation, les mobylettes qui nous dépassent,... Nous pensons descendre en marche et continuer à vélo... Mais nous arriverons finalement, contre toute attente, avec seulement deux heures de retard à Sousse.
On ne vous parle pas des malaises de Jérôme, du sac au contenu suintant douteux au milieu du couloir, ...
Nous sommes tous heureux de retrouver Salem et la maison de Sadok pour quelques jours.
Jérôme a deux dents de trop à l'avant depuis un mois, cela fait désordre. Emmanuel essaye donc de lui arracher les excédentaires avec sa pince Laetherman, sans succès. Cela fait quelques jours que nous lui rappelons qu'à Sousse il passera chez le dentiste si elles ne sont pas tombées avant... Sans doute que la photo de l'arracheur de dents vue au musée de Nefta lui met un peu la pression. Et c'est finalement ce dimanche matin que sa première dent de lait tombe... TIMBER!!!!!!!!!!!!... presque toute seule. Ouf, un peu de répit !
Le transfert vers Sousse vaut un roman à lui tout seul. Pour faire court, notre jeune bus qui ne compte que 550.000 km au compteur, clignote de partout: "vérifier les freins", "vérifier l'ECO moteur",... de plus, il broute plus qu'un dromadaire, les portes ne ferment pas, les soutes très mal, le chauffeur est obligé de couper/allumer son moteur pour réinitialiser en permanence,... il se traîne péniblement à du 40km/h nous laissant tout le loisir d'admirer à s'naise la vue, les paysages, les bas-côtés, les panneaux de signalisation, les mobylettes qui nous dépassent,... Nous pensons descendre en marche et continuer à vélo... Mais nous arriverons finalement, contre toute attente, avec seulement deux heures de retard à Sousse.
On ne vous parle pas des malaises de Jérôme, du sac au contenu suintant douteux au milieu du couloir, ...
Nous sommes tous heureux de retrouver Salem et la maison de Sadok pour quelques jours.
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