Citation

"Même si des milliers de kilomètres séparent des amis, le coeur ne connaît pas de distance"
(Nina Sandmann)

"Les rêves ne s’usent que si l’on ne s’en sert pas"
(Extrait de "Jade et les sacrés mystères de la vie" de François Garagnon)

"Celui qui veut cherche les moyens, celui qui ne veut pas cherche des excuses." (Proverbe arabe)




samedi 8 octobre 2011

En route vers Rome

Samedi 1er octobre : vers Rome !
Nous repartons donc avec un pincement au coeur. Notre route traverse les champs d’oliviers et nous mène à Vetrella où on nous renseigne le monastère des bénédictines (tout en haut bien sûr), où les soeurs vont nous accueillir et préfèrent nous mettre à l’abri dans une salle de conférence plutôt que sous nos tentes.  Elles craquent devant Jérôme et son petit vélo.  Nous assistons à la messe de 18h en communion avec celle de la Ste Famille.
Nous serons nourris comme des rois, à table avec Don Marco, un curé de Rome en retraite ici quelques temps, qui offrira une glace aux enfants !

Dimanche 2 octobre
En ce dimanche, les routes ne sont pas calmes du tout et le paysage change. Nous traversons des vallées très encaissées, beaucoup plus boisées. Les routes sont en très mauvais état, ce qui nous oblige à rouler très lentement.
A Bacciano, encore une ville au bord d’un lac, tous les campings sont déjà fermés. Nous nous installons donc sur une aire Camper payante.  Demain, nous serons à Rome.  Comment trouver nos salésiens ?  Heureusement, un coup de fil à Massimiliano nous aiguille sur les rails et nous permet d’arriver à 4 km de notre destination.

Lundi 3 octobre 2011 : arrivée à Rome
C’est en train que nous entrons dans Rome. Nous sommes tellement agités par les embarquements/débarquements que... nous descendons une gare trop tôt ! Heureusement, cela n'aura pas de conséquence sur la suite du voyage.  Lors du deuxième embarquement, l'agitation fait que le guidon du vélo rentre dans le ventre d'une dame qui me regardait sagement manoeuvrer. Euh, scuzzi...
Quand nous sortons de la gare, nous sommes au 360 de la via Tiburtina et nous devons aller au 994.  Cela fait quand-même quelques kilomètres.  Comme nous n'avons pas pu prévenir Xavier de notre arrivée, nous espérons ne pas trouver porte clause.
A notre arrivée, les salésiens sortent de table, Xavier est parmi eux et prend le temps de nous accueillir, de nous installer dans le jardin, et de tout régler pour que, dans ce grand collège, nous soyons chez nous.
C'est une chance incroyable d'être à quelques kilomètres du centre de Rome, au milieu de la nature !


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