Citation

"Même si des milliers de kilomètres séparent des amis, le coeur ne connaît pas de distance"
(Nina Sandmann)

"Les rêves ne s’usent que si l’on ne s’en sert pas"
(Extrait de "Jade et les sacrés mystères de la vie" de François Garagnon)

"Celui qui veut cherche les moyens, celui qui ne veut pas cherche des excuses." (Proverbe arabe)




dimanche 22 janvier 2012

Samedi 14 janvier : Moulay Idriss - Meknes, des hauts et des bas...


Après le déjeuner traditionnel (pain et huile d’olive), nous quittons Rachid (on ne pouvait quand-même pas l’emmener avec nous) et ses parents charmants pour nous diriger vers Moulay Idriss.  C’est le jour du Souk, mais forts de notre expérience et vu l’affluence moindre, nous arriverons à rester groupés en faisant notre jimcana entre les ânes, les charrettes et les badauds.  Nous sommes les seuls à vélo, et vu les pentes que nous venons de parcourir, on peut comprendre.

Dans cette foule nous retrouvons Abdelkrim (c’est plutôt lui qui nous retrouve, allez savoir pourquoi…) qui nous entraîne chez le photographe pour une photo souvenir !

Nous prenons la route de MEKNES, admirant au passage et de très loin les ruines romaines de VOLUBILIS (c’est pas qu’on est blasé mais on est passé à autre chose).

Difficile de s’habiller quand il fait beau et froid.  Dans les montées, on transpire et dans les descentes on gèle…  il y a bien quelques nez qui coulent dans le peloton, pour d’autre il est rouge sans savoir si c’est de froid ou un coup de soleil…  Il n’y a que pour Jérôme que c’est simple, il garde toutes ses couches du premier coup de pédale au dernier, et il dormirait bien comme cela si il pouvait…

Meknes se situe à +/- la même altitude que Moulay Idriss mais entre les deux c’est Walibi.  Une superbe route vallonnée, nous ferons au total plus de 1000 m d’ascension !

Nous trouvons assez facilement l’auberge de jeunesse qui nous accueillera deux nuits.  Nous la partageons avec un américain qui voyage pédibus.  Nous passons d’abord tous à la douche, question de respect pour ceux qui nous croisent…  Pour le réglage de l’eau chaude c’est simple : quand vous ne mettez que de l’eau chaude, c’est bouillant mais quand vous essayez de mettre un peu d’eau froide, la pression diminue et le bulex s’éteint.  Alors quand on en prend deux en parallèle, on ne contrôle plus rien.  Bref beaucoup d’ambiance !

Nous sortons pour manger.  Les enfants désirent autre chose que le tajine (il paraît qu’on dit « le » ou « la » en fonction du sexe du tajine.  Comment reconnaître le sexe vous demandez-vous certainement si vous êtes aussi curieux que nous ?  Quand elle a des rondeurs, c’est féminin !  Humour de M’RIRT).  Les enfants découvriront que les marocains font moins bien les pizze que les tajines !

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